Traité de Fort Laramie, 1868
ARTICLES D’un traité fait et conclu par et entre
Le Lieutenant-général William T. Sherman, le Général William S. Harney, le général Alfred H. Terry, le général O. O. Augur, J. B. Henderson, Nathaniel G. Taylor, John G. Sanborn Tappan, commissaires dûment nommés par les États-Unis, et les différentes bandes de la nation Sioux des Indiens, par leurs chefs et chefs, dont les noms sont inscrits aux présentes, ils étant dûment autorisés à agir dans les locaux.,
ARTICLE I.
à partir de ce jour, toute guerre entre les parties au présent Accord cessera à jamais. Le gouvernement des États-Unis désire la paix, et son honneur est par la présente promis de la garder. Les Indiens désirent la paix, et ils promettent maintenant leur honneur de la maintenir.,
Si des hommes méchants parmi les blancs, ou parmi d’autres personnes soumises à l’autorité des États-Unis, commettent un tort sur la personne ou les biens des Indiens, les États-Unis, sur preuve faite à l’agent et transmise au commissaire des Affaires indiennes à Washington, procèdent immédiatement à l’arrestation et à la punition du contrevenant conformément aux lois des États-Unis, et remboursent également la personne lésée pour la perte subie., la personne lésée sera remboursée de sa perte sur les rentes ou autres sommes dues ou devant lui être dues en vertu du présent traité ou d’autres traités conclus avec les États-Unis; et le Président, sur avis du Commissaire aux Affaires indiennes, prescrira les règles et règlements pour déterminer les dommages-intérêts en vertu des dispositions du présent article qu’il jugera appropriés, mais nul ne subira de perte en violant les dispositions du présent traité ou les lois des États-Unis.,
ARTICLE II.,à l’exception des officiers, agents et employés du gouvernement qui peuvent être autorisés à entrer dans les réserves indiennes dans l’exercice des fonctions prescrites par la loi, ne seront jamais autorisés à passer, à s’installer ou à résider dans le territoire décrit dans le présent article, ou dans le territoire qui peut être ajouté à la présente réserve pour l’usage desdits Indiens, et dorénavant ils renonceront et renonceront par les présentes à toutes revendications ou droits Dans et vers toute partie des États-Unis ou des territoires, sauf ceux qui sont embrassés dans les limites susmentionnées, et sauf dans les cas prévus ci-après.,
ARTICLE III., à partir de l’arpentage effectif ou d’un autre examen satisfaisant de ladite parcelle de terre qui contient moins de 160 acres de terres cultivables pour chaque personne qui, à ce moment-là, peut être autorisée à y résider en vertu des dispositions du présent traité, et un nombre très considérable de ces personnes pouvant être disposées à venir cultiver le sol en tant qu’agriculteurs, les États-Unis conviennent de mettre à part, pour l’usage desdits Indiens, comme prévu aux présentes, la quantité supplémentaire de terres arables, adjacente à ladite réserve, ou aussi proche que possible de la même quantité qu’elle peut être obtenue, qui peut être requise pour fournir la quantité nécessaire.,
ARTICLE IV.,pratique, les bâtiments suivants, à savoir un entrepôt, une salle de stockage pour l’utilisation de l’agent dans le stockage des marchandises appartenant aux Indiens, au coût d’au moins 2 500$; un bâtiment de l’agence, pour la résidence de l’agent, au coût d’au plus 3 000$; une résidence pour le médecin, au coût d’au plus 3 000$; et cinq autres bâtiments, pour un charpentier, un fermier, un forgeron, un meunier et un ingénieur-chacun au coût d’au plus 2 000$; aussi, une école ou un bâtiment de mission, ainsi dès qu’un nombre suffisant d’enfants peut être incité par l’agent à aller à l’école, ce qui ne coûtera pas plus de 5 000$.,
ARTICLE IV.,pratique, les bâtiments suivants, à savoir un entrepôt, une salle de stockage pour l’utilisation de l’agent dans le stockage des marchandises appartenant aux Indiens, au coût d’au moins 2 500$; un bâtiment de l’agence, pour la résidence de l’agent, au coût d’au plus 3 000$; une résidence pour le médecin, au coût d’au plus 3 000$; et cinq autres bâtiments, pour un charpentier, un fermier, un forgeron, un meunier et un ingénieur-chacun au coût d’au plus 2 000$; aussi, une école ou un bâtiment de mission, ainsi dès qu’un nombre suffisant d’enfants peut être incité par l’agent à aller à l’école, ce qui ne coûtera pas plus de 5 000$.,
Les États-Unis acceptent en outre de faire ériger sur ladite réserve, à proximité des autres bâtiments autorisés par la présente, une bonne scierie circulaire à vapeur, avec un moulin à farine et une machine à bardeaux attachés à celle-ci, au coût ne dépassant pas 8 000$.
ARTICLE V.,
Les États-Unis conviennent que l’agent desdits Indiens s’établira à l’avenir dans le bâtiment de l’Office; qu’il résidera parmi eux et qu’il gardera un bureau ouvert en tout temps aux fins d’une enquête prompte et diligente sur les plaintes déposées par et contre les Indiens qui pourraient être présentées aux fins d’enquête en vertu des dispositions de leurs traités, ainsi que pour l’accomplissement fidèle d’autres devoirs qui lui sont prescrits par la loi., Dans tous les cas de déprédation sur une personne ou un bien, il fera prendre les preuves par écrit et les transmettra, avec ses conclusions, au Commissaire aux Affaires indiennes, dont la décision, sous réserve de la révision du Secrétaire de l’intérieur, liera les parties au présent traité.
ARTICLE VI.,dians, ou légalement incorporé avec eux, étant le chef d’une famille, désirera commencer l’agriculture, il aura le privilège de choisir, en présence et avec l’aide de l’agent alors en charge, une parcelle de terre dans ladite réserve, n’excédant pas trois cent vingt acres de superficie, laquelle parcelle, une fois ainsi choisie, certifiée et enregistrée dans le « livre foncier » tel qu’il est indiqué ci-après, cessera d’être tenue en commun, mais la même chose peut être occupée et détenue en la possession exclusive de la personne qui la choisit, et de sa famille, tant qu’il ou elles peuvent continuer à la cultiver.,
toute personne âgée de plus de dix-huit ans, n’étant pas chef de famille, peut de la même manière choisir et faire certifier à elle, aux fins de la culture, une quantité de terre n’excédant pas quatre-vingts acres, et a alors droit à la possession exclusive de celle-ci comme indiqué ci-dessus.,
pour chaque parcelle de terre ainsi choisie, un certificat, contenant une description de celle-ci et le nom de la personne qui la choisit, avec un certificat portant mention que celle-ci a été enregistrée, sera remis à la partie qui y a droit, par l’agent, après que celle-ci aura été enregistrée par lui dans un livre à conserver dans son bureau, sous réserve d’inspection, lequel ledit livre sera connu sous le nom de « Sioux Land Book »., »
Le Président peut, à tout moment, ordonner une enquête sur la réserve, et, lorsqu’il est ainsi sondé, le Congrès doit prévoir la protection des droits desdits colons dans leurs améliorations, et peut fixer le caractère du titre détenu par chacun. Les États-Unis peuvent adopter les lois sur l’aliénation et la filiation des biens entre les Indiens et leurs descendants qui peuvent être jugées appropriées.,e la parcelle de pays désignée et décrite dans le présent traité pour la résidence permanente des Indiens, qui n’est pas une terre minérale, ni réservée par les États-Unis à des fins spéciales autres que l’occupation indienne, et qui y aura apporté des améliorations d’une valeur de deux cents dollars ou plus, et qui l’aura occupée de façon continue en tant que ferme pendant une période de trois ans, aura le droit de recevoir des États-Unis un brevet pour cent soixante acres de terre, y compris sesdites améliorations, le même qui sera sous la forme des subdivisions légales des arpentages des terres publiques., Sur demande écrite, soutenue par la preuve de deux témoins désintéressés, faite au registre du bureau foncier local lorsque la terre demandée est dans un district foncier, et lorsque la parcelle demandée n’est pas dans un district foncier, alors sur ladite demande et la preuve étant faite au Commissaire du Bureau foncier général, et le droit de ce ou ces Indiens d’entrer dans cette parcelle ou ces parcelles de terre s’accumule et est parfait à partir de la date de ses premières améliorations sur celle-ci, et continuera aussi longtemps que soit continue sa résidence et les améliorations et non plus., Et tout indien ou tout indien qui reçoit un brevet pour des terres en vertu des dispositions ci-dessus deviendra ainsi et sera désormais citoyen des États-Unis et aura droit à tous les privilèges et immunités de ces citoyens, et conservera en même temps tous ses droits aux avantages découlant du présent traité pour les Indiens.
ARTICLE VII.,y, par conséquent, s’engagent à obliger leurs enfants, hommes et femmes, âgés de six à seize ans, à fréquenter l’école, et il est par les présentes fait le devoir de l’agent desdits Indiens de veiller à ce que cette stipulation soit strictement respectée; et les États-Unis conviennent que pour tous les trente enfants entre lesdits âges, qui peuvent être incités ou contraints à fréquenter l’école, une maison sera fournie, et un enseignant compétent pour enseigner les branches élémentaires d’une éducation anglaise sera fourni, qui résidera parmi lesdits Indiens et s’acquittera fidèlement de ses fonctions d’enseignant., Les dispositions du présent article doivent se poursuivre pendant au moins vingt ans.
ARTICLE VIII.,
lorsque le chef d’une famille ou d’une loge aura choisi des terres et reçu son certificat comme indiqué ci-dessus, et que l’agent sera convaincu qu’il a l’intention de bonne foi de commencer à cultiver le sol pour gagner sa vie, il aura le droit de recevoir des semences et des outils agricoles pour la première année, d’une valeur maximale de Cent dollars, et pour chaque année suivante, il continuera à cultiver, pour une période de trois ans de plus, il aura le droit de recevoir des semences et des outils comme indiqué ci-dessus, d’une valeur maximale de vingt-cinq dollars., Et il est en outre stipulé que les personnes qui commencent l’Agriculture recevront l’instruction du fermier ici prévu, et chaque fois que plus de cent personnes entreront dans la culture du sol, un deuxième forgeron sera fourni, avec le fer, l’acier et tout autre matériel qui peut être nécessaire.
ARTICLE IX.,
à tout moment après dix ans de la conclusion du présent traité, les États-Unis auront le privilège de retirer le médecin, le fermier, le forgeron, le charpentier, l’ingénieur et le meunier prévus aux présentes, mais en cas de retrait, une somme supplémentaire de dix mille dollars par an sera ensuite consacrée à l’éducation desdits Indiens, et le commissaire des Affaires indiennes, après une enquête minutieuse sur leur état, établira les règles et règlements pour la dépense desdites sommes qui favoriseront le mieux l’éducation et l’amélioration morale desdites tribus.,
ARTICLE X.
en lieu et Place de toutes les sommes d’argent ou autres rentes prévues à verser aux Indiens nommés aux présentes en vertu d’un ou de plusieurs traités conclus jusqu’à présent, les États-Unis s’engagent à livrer à l’Office house de la réserve nommée aux présentes, au plus tard le premier chemise en flanelle, chapeau et une paire de chaussettes faites maison.,
pour chaque femme de plus de 12 ans, une chemise en flanelle ou les marchandises nécessaires à sa fabrication, une paire de tuyaux en laine, 12 yards de calicot et 12 yards de coton domestique.
pour les garçons et les filles sous les âges nommés, tels articles de flanelle et de coton qui peuvent être nécessaires pour faire chacun un costume comme mentionné ci-dessus, avec une paire de tuyau de laine pour chacun.,
et afin que le Commissaire aux Affaires indiennes puisse estimer correctement les articles nommés aux présentes, il incombe à l’agent de lui transmettre chaque année un recensement complet et exact des Indiens, sur lequel l’estimation d’année en année peut être fondée.,
et en plus des vêtements nommés ici, la somme de 10 $pour chaque personne ayant droit aux effets bénéfiques du présent Traité sera affectée annuellement pendant une période de 30 ans, pendant que ces personnes errent et chassent, et de 20 for pour chaque personne qui s’adonne à l’agriculture, qui sera utilisée par le secrétaire de l’intérieur pour acheter les articles que l’état et les nécessités des Indiens peuvent juger appropriés., Et si dans les 30 ans, à tout moment, il apparaît que le montant d’argent nécessaire pour les vêtements, en vertu du présent article, peut être affecté à de meilleurs usages pour les Indiens nommés ici, le Congrès peut, par la loi, changer l’affectation à d’autres fins, mais en aucun cas le montant de l’affectation ne sera retiré ou, Chaque année, le Président indiquera à un officier de l’armée qui sera présent et attestera de la livraison de toutes les marchandises nommées ci-après aux Indiens, et il inspectera et rendra compte de la quantité et de la qualité des marchandises et de la manière de les livrer. Et il est expressément stipulé par les présentes que chaque Indien âgé de plus de quatre ans, qui se sera installé et établi de façon permanente sur ladite réserve, une Livre de viande et une Livre de farine par jour, à condition que les Indiens ne puissent pas fournir leur propre subsistance à une date antérieure., Et il est en outre stipulé que les États-Unis fourniront et livreront à chaque loge d « Indiens ou famille de personnes légalement constituées avec le, qui doit retirer à la réserve décrite ci-après et commencer l » agriculture, une bonne vache américaine, et une bonne paire de bœufs Américains bien cassés dans les 60 jours après que cette loge ou famille
ARTICLE XI.,
compte tenu des avantages et avantages conférés par le présent traité et des nombreux engagements d’amitié des États-Unis, les tribus qui sont parties au présent Accord stipulent par les présentes qu’elles renonceront à tout droit d’occuper de façon permanente le territoire en dehors de
de leurs réserves telles que définies ici, mais se réservent toutefois le droit de chasser sur toutes les terres au nord de North Platte, et sur la fourche républicaine de la rivière Smoky Hill, tant que les buffles pourront s’y trouver en nombre suffisant pour justifier la chasse. Et eux, lesdits Indiens, sont en outre expressément d’accord:
1er., Qu’ils retireront toute opposition à la construction des chemins de fer en cours de construction dans les plaines.
2d. qu’ils permettront la construction pacifique de tout chemin de fer ne passant pas au-dessus de leur réserve telle que définie ici.
3d. qu’ils n’attaqueront aucune personne à la maison ou en voyage, ni ne molesteront ou ne dérangeront aucun train de wagons, autocars, mules ou bétail appartenant au peuple des États-Unis
tates, ou à des personnes amies avec eux.
4ème. Ils ne captureront jamais, ni ne chasseront des colonies, des femmes blanches ou des enfants.
5e., Ils ne tueront ni ne scalperont les hommes blancs, ni ne tenteront de leur faire du mal.
6. Ils retirent toute prétention d’opposition à la construction du chemin de fer actuellement construit le long de la rivière Platte et vers l’Ouest jusqu’à l’océan Pacifique, et ils ne s’opposeront pas à l’avenir à la construction de chemins de fer, de routes de wagons, de stations postales ou d’autres ouvrages d’utilité ou de nécessité, qui, Mais si de telles routes ou d’autres ouvrages sont construits sur les terres de leur réserve, le gouvernement paiera à la tribu le montant des dommages pouvant être évalué par trois commissaires désintéressés nommés par le président à cette fin, l’un desdits commissaires étant un chef ou un chef de la tribu.
7. Ils acceptent de retirer toute opposition aux postes militaires ou aux routes maintenant établis au sud de la rivière North Platte, ou qui pourraient être établis, non en violation des traités conclus antérieurement ou à conclure ultérieurement avec l’une des tribus indiennes.
ARTICLE XII.,
aucun traité pour la cession d’une partie ou d’une partie de la réserve décrite aux présentes qui peut être tenue en commun, ne sera d’aucune validité ou force à l’encontre desdits Indiens à moins d’être signé et signé par au moins les trois quarts de tous les Indiens adultes de sexe masculin occupant ou intéressés par la même, et aucune cession par la tribu ne sera comprise ou interprétée de manière à priver, sans son consentement, un membre individuel de la tribu de ses droits sur une parcelle de terre choisie par lui comme prévu à l’Article VI du présent traité.
article XIII.,
Les États-Unis s’engagent par la présente à fournir annuellement aux Indiens les médecins, les enseignants, les charpentiers, les meuniers, les ingénieurs, les fermiers et les forgerons, selon ce qui est prévu dans le présent document, et à accorder de temps à autre, sur l’estimation du Secrétaire de l’intérieur, les crédits qui seront suffisants pour employer de telles personnes.
article XIV.,
Il est convenu que la somme de cinq cents dollars par an pendant trois ans à compter de la date sera dépensée en présents aux dix personnes de ladite tribu qui, selon le jugement de l’agent, peuvent cultiver les récoltes les plus précieuses pour l’année respective.
ARTICLE XV.,
Les Indiens nommés ici conviennent que lorsque la maison de l’agence et d’autres bâtiments seront construits sur la réserve nommée, ils considéreront ladite réserve comme leur résidence permanente, et ils ne feront pas d’établissement permanent ailleurs; mais ils auront le droit, sous réserve des conditions et des modifications du présent Traité, de chasser, comme stipulé à
ARTICLE XVI.
Les États-Unis conviennent et stipulent par la présente que le pays situé au nord de la rivière North Platte et à l’est des sommets des Monts Big Horn sera tenu et considéré comme non cédé., Les États-Unis conviennent en outre que, dans les quatre-vingt-dix jours suivant la conclusion de la paix avec toutes les bandes de la nation Sioux, les postes militaires maintenant établis dans le territoire mentionné dans le présent article seront abandonnés, et que la route qui les mène et par eux aux colonies dans le territoire du Montana sera fermée.,
ARTICLE XVII.
Il est expressément entendu et convenu par et entre les parties respectives au présent traité que l’exécution du présent traité et sa ratification par le Sénat des États-Unis auront pour effet, et seront interprétés comme abrogeant et annulant tous les traités et accords précédemment conclus entre les parties respectives aux présentes, dans la mesure où ces traités et accords obligent les États-Unis à fournir et à fournir de l’argent, des vêtements ou d’autres objets de propriété aux Indiens et bandes D’Indiens qui deviennent parties au présent traité, mais plus loin.,
en témoignage de tout ce que nous, lesdits commissaires, ainsi que nous, chefs et chefs de la bande Brule de la nation Sioux, avons déposé nos mains et nos sceaux au Fort Laramie, Territoire du Dakota, ce vingt-neuvième jour d’avril, de l’an mil huit cent soixante-huit.
exécuté de la part de la bande de Sioux Brule par les chefs et le chef dont les noms sont annexés, dûment autorisés, à Fort Laramie, D. T., Le vingt-neuvième jour d’avril de l’an 1868 de notre ère.,
exécuté de la part de la bande de Sioux Ogallalla par les chefs et chefs dont les noms sont souscrits, dûment autorisés, à Fort Laramie, le 25 mai de l’an 1868.
exécuté de la part de la bande de Sioux Minneconjou par les chefs et les chefs dont les noms sont ici souscrits, ils y étant dûment autorisés.
exécuté de la part de la bande de Sioux Yanctonais par les chefs et chefs dont les noms sont souscrits, ils y étant dûment autorisés:
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