objectifs: déterminer la prévalence de polyhydramnios dans une population prénatale de routine, dans laquelle un dépistage échographique des anomalies fœtales du premier et du deuxième trimestre avait été effectué et examiner l’issue de ces grossesses.,
Méthodes: une enquête analytique rétrospective de tous les examens échographiques obstétricaux effectués dans un hôpital universitaire d’enseignement sur une période de trente-six mois. Le Polyhydramnios a été défini comme la mesure d’un seul bassin de liqueur le plus profond > 8 cm (AFV) ou, selon l’indice de liquide amniotique, la somme d’une mesure à quatre quadrants > 24 cm (AFI). En utilisant les définitions énoncées, polyhydramnios a été diagnostiqué chez 37 femmes, dont 16 avaient un AFI élevé., Les principaux résultats intéressants comprenaient le mode de début du travail et le mode d’accouchement (taux de travail spontané et induit, accouchement par césarienne), le poids à la naissance, la présence ou l’absence d’anomalies fœtales et le résultat périnatal.
résultats: la prévalence des polyhydramnios dans cette étude est plus faible (0,15% AFI> 24 cm et 0,36% AFV> 8 cm) que dans les études précédentes. L’association entre polyhydramnios, diabète sucré maternel (10,8%), anomalies fœtales (5,4%) et macrosomie fœtale (10.,8%) était également plus faible que dans les précédents rapports. Il y avait un meilleur résultat fœtal global par rapport aux études précédentes et aucun décès périnatal n’a été observé.
Conclusions: dans cette étude, la prévalence des polyhydramnios au troisième trimestre était plus faible que dans les études précédentes, tout en étant associée à un meilleur pronostic. Cela peut avoir été le résultat d’une combinaison de plusieurs facteurs. Il s’agit notamment de l’introduction d’un dépistage échographique à plusieurs niveaux des anomalies fœtales et de l’amélioration des soins des femmes diabétiques et des mères immunisées contre l’iso Rhésus.
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