en 1826, le français Joseph-Nicéphore Niepce a pris une photo (héliographe, comme il l’appelait) d’une grange. L’image, résultat d’une exposition de huit heures, était la première photographie au monde. Un peu plus de dix ans plus tard, son associé Louis Jacques Mande Daguerre met au point un moyen de reproduire en permanence une image, et son image—un daguerréotype—ne nécessite qu’une exposition de vingt minutes. Un processus pratique de la photographie est né.
le début du XIXe siècle a été une période passionnante pour être en vie., Au fur et à mesure que les gens commençaient à en apprendre de plus en plus sur le monde qui les entourait, le besoin de capturer l’environnement avec plus de précision s’est fait sentir. Ce besoin a finalement dépassé la capacité de la seule main de l’artiste. Les gens cherchaient des moyens de capturer directement des images afin que la Nature soit en quelque sorte capable de se représenter.
Louis Jacques Mande Daguerre est né près de Paris, France en 1787. Le peintre illusionniste Pierre Prévost lui demande de se joindre à son équipe de peintres panoramiques alors qu’il n’a que vingt ans. Daguerre devient peu après Assistant scénographe pour un théâtre., Il était un illusionniste doué en termes de sa capacité à concevoir des décors qui éblouissaient son public. Artiste qui voulait que son travail soit le plus réel possible, Daguerre a créé des scènes incroyablement réalistes au théâtre. Ces dessins, qui étaient capables de simuler le passage du jour dans la nuit, les changements de temps, et même donner aux téléspectateurs la sensation de mouvement, Daguerre plus tard inventé comme « dioramas, » ou « drames de lumière. »En 1825, Daguerre était un créateur, propriétaire et promoteur à succès d’un théâtre Illusionniste à Paris qui se spécialisait dans ces dioramas.,
Les illusions de Daguerre dépendaient fortement de la représentation précise des détails et de la perspective à grande échelle. Ainsi, comme beaucoup d’autres de son temps, il a utilisé la camera obscura* comme un outil pour l’aider à tracer en deux dimensions ce que ses yeux voyaient en trois. Daguerre a expliqué que la magie de ses dioramas résultait de son utilisation de la lumière dans les scènes. Il prétendait avoir découvert un système de peinture capable de transformer l’apparence d’un objet en alternant entre la lumière réfléchie et la lumière réfractée, ainsi qu’en changeant la couleur de la lumière qui tombait sur lui.
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